Il n’est pas de bon ton aujourd'hui d'être un partisan de la chasse. Néanmoins, quand j'arrive à la campagne et que je constate qu'une compagnie de sangliers a pris mon jardin pour sa nouvelle aire de jeu, je vous avoue regretter de ne pas avoir à mes cotés une bonne gâchette.
Et quand mon ami Régis, arrive chez moi pour dîner avec deux poules faisanes sous le bras, je salive déjà en pensant à l'embeurrée de chou qui va leur servir de décor et à la saucisse de Morteau qui va les accompagner. Ces mets sont devenus rares aujourd'hui et j'ai voulu partager avec vous cette recette d'un autre temps mais au combien délicieuse.
Toujours dans cette lignée un peu nostalgique, mais qui vise à nous rendre fiers de nos racines gastronomiques, lisez la dernière chronique "Humeurs culinaires" d'Edouard Bernadac, ardent défenseur de la cuisine française.
Vous déboucherez sans aucun doute une bonne bouteille pour l'accompagner, apprenez à la déguster en compagnie de Jean Lenoir, créateur du Nez du Vin.
Et pour clore ce festin, Louis Carzou, adepte de la langue française nous apprend dans "les Mots à la Bouche" l'origine du sorbet.